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ATHANAS ESAKE TADIWUNDJ The Humans Rights Defender 
 
 
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ATHANAS ESAKE T. Défenseur droits de l'homme

Dénonciation des actions meurtrières perpétrées par la police et l'armée au pouvoir à Kinshasa pendant les evenements politiques. Pendant la marche de protestation du 19 au 21 Janvier 2015, contre le projet de loi électorale sur la révision constitutionnelle permettant au chef de l'état de briguer un troisième mandat présidentiel , les hommes en uniformes ont tiré à bals reels sur la population qui marchait dans les artères secondaires de la ville et ont ramassé les corps de victime pour éviter toute condamnation de la communauté internationale et ONG de défense des droits de l'homme de Kinshasa. 
Par ailleurs beaucoup des familles sont restés sans nouvelle de leurs frères ou soeurs jusqu'à ce jour qui ont éliminés pour les uns et déportés vers de destinations inconnues pour les autres. 
Suite à cette dénonciation avec preuve à l'appui et à d'autres rapport que j'ai rédigé, je fais l'objet des menaces physiques des agents de service secret du pouvoir en place, des jours comme des nuits pour que je cesse de rapporter leurs crimes. 
 
Voila pour je demande la protection de la communauté internationale car chaque jour qui passe je fais l'objet des menaces de mort et ma vie est en danger parceque je suis défenseur des droits de l'homme et que je dénonce tous ce crimes contre l'humanité et contre les droits de congolais. 
 
Fait à kinshasa le 13 Avril 2015 
ATHANAS ESAKE TADIWUNDJI. 
 
Kinshasa la capitale de République Démocratique du Congo fait toujours l'objet des actes criminels et barbares de la part des éléments armés de la police et de FARDC. 
Sur ordre des autorité en place le Défenseur de droits de l'homme Jean Paul Konde a été séquestré puis battu à mort après avoir publié son rapport sur les enlèvements et les exécutions des enfants de la rue dans l'opération Likofi de Police Nationale Congolaise. Voila pourquoi je viens demander l'aide des activistes internationales de droits de l'homme d'intervenir pour la liberation de ce défenseur des droits de l'homme qui est toujours séquestré il y a de cela 97 jours.  
 
Fait à Kinshasa le 17 Aout 2015 
ATHANAS ESAKE TADIWUNDJI  
 
Toujours combattu mais jamais abattu une lettre anonyme reçu dans mon courriel électronique nous interdisant de ne plus publier nos rapport sous peine d'être éliminé physiquement, n'a fait que nous encourager à rapporter et dénoncer toutes les pratiques inhumaines que subis la population et les activistes de droits de l'homme. Jusqu'à ce qu'il y ait un état de droit et que ces droits soient respectés par tous en R.D.Congo. 
 
Fait à Kinshasa le 02 Septembre 2015 
ATHANAS ESAKE TADIWUNDJI 
 
Marche de l’opposition: Eve Bazaiba affirme avoir reçu une balle 
 
 
La secrétaire générale du parti politique de l’opposition Mouvement de libération du Congo (MLC) affirme avoir reçu une balle au cours de la marche de l’opposition à Kinshasa jeudi 26 mai 2016. La police rejette cette accusation.  
 
« La situation a commencé à dégénérer et dans ce brouhaha, j’ai compris que la stratégie était de m’isoler de la population. Dans les secondes qui suivaient, j’ai entendu quelqu’un charger [son arme] et il a tiré sur moi à bout portant. J’ai eu le réflexe de tomber directement et la balle m’a traversé au mollet à la jambe gauche. Je ne réalisais pas que j’étais blessée. J’ai senti ma jambe lourde et en regardant, j’ai vu le sang qui coulait. J’ai beaucoup saigné », témoigne-t-elle. 
 
La députée du MLC indique que cet incident s’est produit à proximité du camp Lufungula, alors que les leaders de l’opposition et leurs militants se dirigeaient vers l’hôpital général de référence de Kinshasa où devait s’achever leur manifestation. 
 
C’est à ce niveau que les policiers ont commencé à lancer des gaz lacrymogènes sur les manifestants, rapporte Eve Bazaiba. 
 
Le porte-parole de la police rejette ces accusations. Selon le colonel Mwanamputu, Eve Bazaiba s’est blessée quand elle est tombée. Pour lui, une trace de balle ne laisse pas une telle plaie. Les photos de la blessure de la députée du MLC ont été publiées sur les réseaux sociaux. 
 
ATHANAS ESAKE TADIWUNDJI 
 
Lubumbashi: des opposants dénoncent "l’acharnement" contre Katumbi 
 
Le Rassemblement de forces politiques et sociales acquises au changement a dénoncé, mercredi 22 juin, "l’acharnement" du pouvoir contre Moïse Katumbi dans un dossier judiciaire qui ne le concerne pas mais plutôt son grand-frère, Raphael Katebe Katoto. 
 
L’ex-gouverneur du Katanga est accusé d’avoir spolié et vendu la maison de M. Alexandros Stoupis de nationalité grecque. 
 
Réunis à Lubumbashi, le coordonnateur de cette plateforme Gabriel Kyungu wa Kumwanza, accise le pouvoir «d’avoir mis en place de tels petits plans pour essayer de noyer Katumbi Chapwe gratuitement». 
 
«D’ailleurs, Monsieur Katumbi, lui-même, n’étant pas sur place. Il est aux soins à l’étranger avec l’autorisation du Parquet général de la République. Nous ne voyons pas pourquoi on est resté ici préparer de petits plans pour essayer de nuire à sa réputation et aussi à sa sécurité», a-t-il déploré. 
 
Gabriel Kyungu wa Kumwanza a également demandé aux autorités politiques de se calmer car leur comportement vis-à-vis de Moïse Katumbi commence, selon lui, à gêner. 
 
Gabriel Kyungu juge inadmissible que la justice lance des poursuives judiciaires contre Katumbi Chapwe alors que l’affaire présumée de spoliation concerne Katebe Katoto: 
 
«Katebe Katoto est une personne à part et Monsieur Katumbi aussi est une personne à part. Monsieur Stoupis doit savoir quand on lui demande de se lancer dans une affaire, il doit être sûr de ce qu’on lui demande d’avancer». 
 
A l’occasion, Kyungu s’est par ailleurs insurgé contre la détention «inexplicable» du professeur Huit Mulongo, un des proches de Moïse Katumbi.​ 
 
 
ATHANAS ESAKE TADIWUNDJI

 

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Modifié en dernier lieu le 20.06.2016
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